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14 novembre 2024 4 14 /11 /novembre /2024 13:29
Maïté doit s'en souvenir

en tant que secrétaire de Mairie.

 

C'était il y a bien longtemps, Charlotte et moi nous  nous battions comme des forcenés pour avoir notre petite place dans le monde agricole contre le barrage qui nous était imposé que ce soit bancaire, administratif ,syndical et même communal avec le prédécesseur de marc Oxibar qui suivait entre autres les directives de son adjoint estimant qu'il y avait déjà trop de paysans. Il faut dire qu'étant responsable de la société paloise d'hlm on avait pas la même vision de la société. J'étais côté jardin et lui cage d'escalier.

 

Tellement malmenés que l'on faisait flèche de tout bois.

 

Entre autres de ne pas vouloir répondre  aux enquêtes de recensement public puisque dans les faits ils ne voulaient pas que l'on existe. Finalement sous la pression amicale de Maïté avec comme supérieur hiérarchique cette chère madame Lieven nous répondions mais de manière farfelue à savoir par exemple qu'à la question sur le sexe, je répondais indéterminé ou énorme.

 

pourquoi je parle de ça ?....(je ne savais pas à l'époque qu' aussi dans ce domaine j'étais un visionnaire..)

 

A cause d'une autre énormité incongrue qui m'a sauté aux yeux:

 

Accroche-toi Jeannot ! ( ou Jeanine)

 

Une école strasbourgeoise va équiper ses élèves d'une balise GPS différente selon leur sexe afin de déterminer leur comportement dans les cours de récréation car " ils se sont aperçus que leurs occupations  étaient différentes selon le sexe et il fallait donc y remédier"  ben ouais les garçons ont tendance à jouer au foot et les filles à papoter entre elles...(j'espère au moins que cette étude capitale au devenir des enfants  a été subventionnée avec de l'argent public? )

 

Ce qui est quasi criminel  à une époque où lors des jeux Olympiques une "femme" met la pâtée à son adversaire féminine  à un match de boxe.

 

J'avoue que mes parents devaient être inconscients de me laisser partir jouer, gamin, au Jardin du Luxembourg derrière le Sénat à Paris avec mon sac de billes sans qu'ils se posent des questions sur mon genre. Il y avait-il un non-dit de leur part ?, Quand blessé à un doigt ils me faisaient un pansement en forme de poupée ?.

 

Avec le recul, je me tâte...

 

On vit une époque formidable.

 

 

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commentaires

J
Il y en a qui ont vraiment du fric à perdre... Ils n'ont qu'a demander aux anciens instits (les vrais anciens, pas ceux qui se grillent une clope au portail en regardant le portable plutôt que les gosses !).
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J
Tout à fait d'accord avec toi ! J'ai connu la "fin" des instits à l'ancienne (blouse grise et brosse qui vole dans la classe...). Peut-être allaient-ils trop loin par moment (bien qu'on n'en soient pas morts). A l'époque, on savait peut-être pas parler anglais mais on arrivait en 6ème en sachant lire, écrire et compter !<br /> Et dans la cours de récré, c’était régulièrement que les garçons jouaient à la marelle ou à "l'élastique" avec les filles et qu'elles venaient jouer à la pelote ou aux billes avec nous ! Et personne ne se posait de questions, surtout pas les parents (car ça vient bien d'eux ce genre de conneries...) !
.
Etant fils d'enseignants je n'osais pas l'écrire :) Mes parents n'avaient pas le droit de s'asseoir pendant la récré ni même de rester ensemble mais au contraire de marcher en observant. C'est vrai qu'il n'y avait ni portable ni GPS. et même les enseignants portaient la blouse. Alors la théorie du genre.. Mon Dieu... qu'ils laissent nos enfants grandir tranquillement..et qu'ils les instruisent. A nous de les éduquer.